Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

On ne doute plus

que les dinosaures disparussent de la chute d'une météorite plus formidable que ne le fut jamais aucune montagne russe ou d'un autre pays,

que cela se produisît il y a soixante-six millions d'années plus ou moins trente-deux mille ans,

que cela se produise en moyenne tous les cent millions d'années et se reproduira donc probablement dans les trente-quatre prochains millions d'années plus ou moins trente-deux mille ans,

que les oiseaux soient des dinosaures les descendants à plumes,

que les dinosaures se miniaturisassent jusqu'au colibri quand les mammifères terrestres poussaient la grandeur et la misère jusqu'à l'homme,

que notre désir de connaître le récit et les raisons de tout cela n'ait d'égal que notre abandon à la course folle sur les montagnes russes du grand dérèglement,

que des fables nouvelles adviendront qui remplaceront nos défuntes mythologies et nos subjonctifs imparfaits.

Les commentaires sont fermés.