La glossolalie d’Andrei Biely m’est parvenue en anglais, accompagnée de cette figure étrange, prise dans une géométrie rudimentaire et universelle. Ne lisant pas le russe, j’ai déchiffré et traduit l’anglais à ma façon, dans un essai de triangulation de la langue, entre la fleur et le serpent, imaginant le cosmos dans une bouche.